Le souffle aristocratique de la place Saint Sulpice. Le charme germanopratin de petites rues à la décontraction stylée, la douceur romantique du jardin du Luxembourg, la grandeur classique du Théâtre de l’Odéon, un poétique banc aux livres juste devant l'Hôtel Récamier… et tout l’art de vivre très casual- cultivé de la Rive Gauche : de terrasse de cafés et brasserie de légende en adresses et petites cours plus secrètes, de shopping pointu en librairies et galeries expertes, l’expérience parisienne est ici à portée de contemplation, de flânerie, de promenade et de bien-vivre. Il suffit de demander. Nous saurons assurément vous surprendre et vous guider.
L'expérience parisienne est ici à portée de contemplation
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L'exposition présente plus de 350 photographies choisies pour une promenade à travers l'œuvre complexe d’un artiste si souvent simplifié qui reprendra ici toute sa dimension poétique et profondément humaine. Témoignant de son époque des années 1930 aux années 1980, Robert Doisneau a photographié l’enfance, sa banlieue parisienne, les ateliers d’artistes peintres et sculpteurs rencontrant au passage l’œuvre de Maillol, la mode et le luxe d’après-guerre tout en dressant le constat social d’un monde sans indulgence dont il se sentit toujours solidaire.
L’exposition offre une véritable rencontre avec le photographe dans son foisonnant univers de travail. Au cours du parcours se dévoilent des objets et documents personnels du photographe, ainsi que des interactifs et audiovisuels. On y découvrira également son œuvre publicitaire, souvent drôle et si peu connue.
Construit en pleine Guerre froide, le Mur de Berlin incarne la division entre le capitalisme et le communisme, un affrontement idéologique ayant plongé le monde dans une menace nucléaire constante.
À travers plus de 200 artefacts authentiques, cette exposition unique retrace son histoire et souligne l’importance de défendre les droits humains, la liberté et la démocratie. La collection de plus de 200 objets originaux provient de plus de 20 institutions internationales, telles que la Fondation du Mur de Berlin, le Musée des Alliés et le Musée de la Paix d’Hiroshima. Parmi les pièces les plus remarquables, on trouve des fragments du Mur et des objets personnels que les habitants de Berlin utilisaient pour le contrebande ou la communication à travers le Mur, témoignant des conséquences directes des deux systèmes opposés. Le visiteur pourra également découvrir des objets reflétant la dimension mondiale du conflit, comme ceux utilisés pour la propagande, l’espionnage, et la guerre nucléaire. Ces pièces retracent les mouvements sociaux et les événements qui ont conduit à la chute du Mur de Berlin et à la fin de la Guerre froide.
Conçue en partenariat avec le Metropolitan Museum of Art de New York, l’exposition réunira plus de 90 œuvres du célèbre artiste américain John Singer Sargent (1856-1925), dont certaines n'ont jamais été présentées en France. Elle retrace l'ascension fulgurante du jeune artiste, arrivé en France en 1874. C'est à Paris que le peintre s’est formé, a développé son style et son réseau d’artistes puis a connu ses premiers succès. L'exposition couvre son parcours jusqu'au milieu des années 1880, période où il s'installe à Londres après le scandale suscité par son portrait de Madame Gautreau (Madame X) au Salon.
L'exposition revient sur les années parisiennes de l'artiste américain John Singer Sargent et sur les liens durables que le peintre conserva avec sa ville de formation. Jusqu'au milieu des années 1880, Sargent forge à la fois son style et sa personnalité dans le creuset de l’étourdissant monde de l’art parisien, marqué par la multiplication des expositions, le développement du naturalisme et de l’impressionnisme et la montée en puissance de Paris comme capitale mondiale de l’art.
En présentant près de 200 œuvres et objets, le Musée de la musique-Philharmonie de Paris et le Centre Pompidou s’associent pour dévoiler la place fondamentale que la musique a joué pour Kandinsky dans son quotidien, dans sa vocation d’artiste et dans l’évolution de sa pratique vers l’abstraction. Outre une centaine d’œuvres et dessins, le parcours dévoile un cabinet imaginaire illustrant la mélomanie de Kandinsky. Les partitions qu’il acquiert, les livres et prospectus musicaux qu’il collecte, les photographies de ses amitiés musicales, sa collection de disques constituent des objets essentiels de sa culture artistique.
La production picturale de Kandinsky est indissociable de sa réflexion et de ses expériences sur la synthèse des arts. L’exposition met en dialogue tableaux et dessins avec ses différents projets pour la scène, ses poèmes explorant le « son pur » des mots, ou encore l’Almanach du Blaue Reiter (Cavalier bleu), qui tous opèrent l’unité fondamentale des arts visuels et sonores. Enfin, parce que la musique est aussi, dans l’œil de Kandinsky, un art de
la performance, l’exposition propose la recréation de plusieurs œuvres synesthésiques, comme le Salon de musique qu’il conçoit pour l’exposition d’architecture de Berlin en 1931.
Orson Welles (1915-1985) a réalisé 12 longs métrages achevés, dont le plus célèbre, Citizen Kane (1941), réalisé à 25 ans seulement. Immense créateur de formes cinématographiques, renouvelant brillamment l’usage du plan-séquence, de la profondeur de champ ou du montage rapide, Welles n’a cessé de surprendre à travers l’aspect protéiforme de son travail. Cette exposition se veut une introduction à cette œuvre hors norme.
L'exposition rend hommage à la carrière mouvementée d’Orson Welles à travers un parcours scénographique qui mêle chronologie et exploration des grands thèmes de ses films. Au fil des cinq sections du parcours, 400 œuvres illustrent la singularité et le processus de création d’Orson Welles : photographies (de Xavier Lambours, Alexandre Trauner, Nicolas Tikhomiroff, Roger Corbeau, Irving Penn ou encore Cecil Beaton), archives, dessins, boucles audiovisuelles et installations. Outre des extraits généreux de ses films, l’exposition rassemble une quarantaine d’œuvres de la création d’Orson Welles en tant que dessinateur et sculpteur.
À l'occasion du bicentenaire de la mort de Jacques-Louis David (1748-1825), le musée du Louvre, qui conserve le plus important ensemble au monde de peintures et de dessins de l'artiste, offre une nouvelle vision sur une personnalité et une œuvre d'une richesse et d'une diversité exceptionnelles. L'exposition met en lumière la force d'invention et la puissance expressive de la peinture d'un artiste qui a créé des images qui hantent aujourd'hui encore notre imaginaire collectif.
La dernière grande monographie consacrée à David avait été organisée au Louvre et au château de Versailles, en 1989 pour les célébrations du bicentenaire de la Révolution. Cette nouvelle exposition, qui embrasse la longue carrière d'un artiste qui a connu six régimes politiques et participé activement à la Révolution, réunit une centaine de prêts, dont l'imposant fragment du Serment du Jeu de Paume (dépôt du musée du Louvre au château de Versailles) et la version originale du célèbre Marat assassiné (Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, Bruxelles).
Une traversée dans l’œuvre de l'écrivaine et la manière dont elle peut entrer en résonance avec nos questionnements contemporains. Son écriture, remise dans le contexte historique et social, sera essentielle, tout comme la question du jeu entre fiction et écriture de soi. Le parcours est organisé en cinq grandes sections thématiques, croisant la double chronologie des publications et de la vie de Colette. Chacune des parties restitue l’expérience que constitue la lecture de l’œuvre de Colette tout en revenant sur la relation étroite qui s’est toujours nouée, chez l’autrice, entre l’écriture et la vie.
L’exposition, avec plus de 300 pièces, dessine les mondes d’une femme indépendante, qui a su construire une œuvre audacieuse, parfois transgressive, toujours d’une étonnante actualité. Manuscrits, peintures, photographies, estampes et quelques objets emblématiques viennent éclairer les thèmes traversant l’œuvre et la vie de Colette – le féminin, l’identité, l’émancipation, la nature, le désir – mais aussi le jeu de miroir permanent entre l’autrice et ses personnages.
L'exposition offre une traversée de l'œuvre de Rick Owens, de ses débuts à Los Angeles à ses collections les plus récentes. Directeur artistique de l’exposition, le créateur de mode imagine avec le Palais Galliera un parcours qui s’étend à la façade et au jardin du musée et propose une réflexion sur l'amour, la beauté et la différence à travers une mise en scène monumentale.
Riche de plus de 100 silhouettes, la rétrospective est complétée par des archives personnelles du créateur, des vidéos et des installations inédites. Des œuvres de Gustave Moreau, Joseph Beuys et Steven Parrino permettent de revenir sur les sources d'inspiration du designer et de montrer son travail sous un nouveau jour. Le parcours évoque également l’importance de son épouse Michèle Lamy, dont la présence se retrouve tout au long de l’exposition.
Couple mythique, Niki de Saint Phalle (1930 – 2002) et Jean Tinguely (1925 – 1991) sont unis par un lien artistique et une vision commune de la création comme acte de rébellion contre les normes établies. L’exposition retrace l’itinéraire de ces deux artistes à travers la figure de Pontus Hulten (1924 – 2006), premier directeur du Musée national d’art moderne au Centre Pompidou, qui partage leur conception d’un art disruptif, pluridisciplinaire et participatif.
C’est par le prisme de Pontus Hulten, premier directeur du Musée national d’art moderne au Centre Pompidou de 1977 à 1981, que l’exposition revient sur les créations de Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely au fil d’un parcours historique et ludique où s’entrelacent art, amour, amitié et engagement. Porté par une approche muséale radicale et novatrice, Pontus Hulten offrit un soutien inconditionnel au couple d’artistes. Il partageait avec eux leurs conceptions anarchistes au service d’un art pour tous, pluridisciplinaire et participatif, qui déplace les lignes.
Cette rétrospective offre un regard renouvelé sur l’œuvre rare de l’un des plus grands peintres français du XVIIe siècle. Malgré la rareté des originaux parvenus (seulement une quarantaine d’œuvres authentiques du peintre sont connues aujourd’hui), l’art de Georges de La Tour a laissé une empreinte profonde dans l’histoire de l’art. Par son naturalisme subtil, l’épure formelle de ses compositions et leur intensité spirituelle, il a su créer un langage pictural d’une grande puissance émotionnelle.
Rassemblant une trentaine de toiles et d’œuvres graphiques prêtées par des collections publiques et privées françaises et étrangères, l’exposition adopte une approche thématique destinée à cerner l’originalité de Georges de La Tour (1593-1652). Le parcours explorera ses sujets de prédilection — scènes de genre, figures de saints pénitents, effets de lumière artificielle — tout en replaçant sa vie et son œuvre dans le contexte plus large du caravagisme européen, notamment celui de l’influence des caravagesques français, lorrains et hollandais.
Rarement rassemblée dans des expositions à part entière, l’œuvre sur papier de Pierre Soulages constitue pourtant un pan essentiel de son parcours artistique. Dès 1946, il explore cette voie avec des peintures au brou de noix aux traces larges et affirmées, qui marquent d’emblée sa singularité au sein des démarches abstraites de l’époque.
Grâce à des prêts exceptionnels du musée Soulages, l’exposition rassemble 130 œuvres réalisées entre les années 1940 et le début des années 2000, dont 25 inédites. Vous y découvrez un ensemble de peintures sur papier, longtemps conservées dans l’atelier de l’artiste, qui témoignent de la constance et de la liberté avec lesquelles Soulages aborde ce support.
Privilégiant le brou de noix dans les premières années, Pierre Soulages reviendra souvent à cette matière prisée des ébénistes, pour ses qualités de transparence, d’opacité et de luminosité, en contraste avec le blanc du papier. Il emploiera aussi l’encre et la gouache pour des œuvres dont les formats restreints ne cèdent en rien à la puissance formelle et à la diversité.
En mettant en lumière cet ensemble de peintures sur papier, l’exposition vous invite à redécouvrir Pierre Soulages dans une pratique à la fois intime et déterminante, au cœur de son langage plastique.
Disney100 : L’Exposition est une invitation à explorer un siècle d’histoires et de création. Avec ses neuf galeries immersives, cette expérience unique lève le voile sur certaines des histoires les plus appréciées de Disney – des classiques tels que Blanche-Neige et les Sept Nains (1937) et Peter Pan (1953) aux titres plus récents comme Ratatouille (2007) et Encanto, La Fantastique Famille Madrigal (2021). Les fans pourront également célébrer leurs récits préférés issus des univers Pixar, Star Wars et Marvel.
Depuis près de 55 ans, Walt Disney Archives préserve avec soin certains des objets les plus précieux de The Walt Disney Company. À Paris, plus de 250 pièces seront exposées, dont des œuvres d’art, des sculptures utilisées pour l’animation, ainsi que des costumes et des accessoires. Cela inclut le Cheval du Carrousel de Mary Poppins (1964), utilisé par la Disney Legend Julie Andrews, ainsi que la robe rouge de Cruella (2021), portée par Emma Stone.
Situé entre Bastille et Nation, dans une ancienne fonderie du XIe arrondissement parisien, l’Atelier des Lumières propose des expositions numériques immersives monumentales diffusées en continu. Avec 140 vidéoprojecteurs et une sonorisation spatialisée, cet équipement multimédia unique en son genre épouse 3 300 m² de surfaces, du sol au plafond, avec des murs s’élevant jusqu’à 10 mètres.
La Galerie Dior, qui témoigne de l’audace visionnaire de Christian Dior et de ses six successeurs : Yves Saint Laurent, Marc Bohan, Gianfranco Ferré, John Galliano, Raf Simons et Maria Grazia Chiuri.
En fonction des saisons et des événements, des tarifs promotionnels vous sont proposés. Vous pourrez également sélectionner des offres gourmandes, romantiques, familiales, festives, des offres longs séjours..
Nos bonnes adresses
27 Rue de Vaugirard, 75006 Paris
54 Rue de Seine, 75006 Paris
54 Rue de Seine, 75006 Paris
69 Rue de Seine, 75006 Paris
36 Rue de Grenelle, 75007 Paris
Bourse de Commerce – 3e étage 2 rue de Viarmes – 75001 Paris
79, rue de Seine, 75006 Paris
5, rue Paul Louis COURRIER
4, place Saint-Germain des Prés, 75006 Paris
54, rue de Seine
10, bis rue Servandoni, 75006 Paris
10, rue Saint simon, 75007 Paris
24, rue des Cannettes 75006 PARIS
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